Alertoplum

La théorie du genre...

 

                                                                                              La théorie du genre…

 

Une femme à l'usine pendant la Seconde Guerre mondiale, occupant ainsi un rôle traditionnellement vu comme masculin.

 

 

Faites un texte au masculin, puis un autre au féminin en employant au moins 10 des mots suivants :

 

Cartouche, claque, faune, mémoire, mode, poste, manœuvre, gène, pendule, voile, manche, moule, tour, mousse, crêpe, livre

 

 

            Sur le cartouche de la maison - un claque- on voit un faune couvert d’un crêpe qui lui donne l’air d’un mousse si l’on ne pose son regard que sur son buste aux pectoraux avantageux, car aux pattes, il porte sabots et sur le sommet de la tête, dissimulées par un voile rouge, deux cornes de biquette.

Claque distingué dont sont exclus les manœuvres, les manouches, les manuels et les authentiques Hottentots. Quand le portier a un doute sur la distinction du client, il sort son pendule et l’agite sous le nez de l’impétrant. Après six tours, si le pendule penche à droite, le client  entre. Alors le portier manie le manche d’une machinerie qui ouvre une porte monumentale, reproduction fidèle d’une antique porte d’airain. Sur une table basse sont disposés des livres de toutes les littératures.
A la seconde porte, sur un mode plaisant, un autre coquin posté là à cet effet, lui remet un mémoire. C’est le mode d’usage du claque qu’il convient de connaître par cœur. Ainsi ne sont clients que de riches et distingués habitués qui, si on les photographiait côte à  côte surprendraient. Ils semblent issus d’un même gène : leurs lippes rubicondes, leurs yeux noirs étincelants de micaschiste, leur barbichette pointue et les muscles de leurs épaules. Il ne leur manque que les sabots, car pour les cornes, il est possible qu’ils les cachent sous leur abondante crinière. Allez savoir. Le Faune porte bien son nom !

 

Mais Le Faune a réputation de mystère.

 

Une troisième porte, masquée par une lourde tenture de velours mordorée donne accès à un espace aussi excentrique que neuf. L’habitué qui y pénètre se sent comme aspiré par une voile gonflée, mue par une soufflerie qu’anime le tic-tac régulier d’une pendule. Il semble au jeune Faune que sa mémoire l’abandonne : une délicieuse mousse de fruits confits exotiques lui est servie avec une crêpe parfumée à l’orange. Un rafraîchissement inconnu à son palais achève de l’emporter dans un univers onirique où il découvre, nageant dans un bassin de nacre aux proportions savantes trois Naïades dont il n’aperçoit au premier regard que la chevelure : la première porte une chevelure auburn, la seconde une chevelure blonde et la troisième une chevelure brune aux reflets bleutés. Ces trois Grâces exécutent avec délices les manœuvres complexes qui font jaillir de leur bassin  poissons volants irisés et fleurs parfumées. Sans aucune gêne, elles évoluent nues. Leurs mouvements cadencés et gracieux plongent le Faune dans un total ravissement. Il ne peut les atteindre car il en est séparé par une tour de verre épais et tenterait-il de la briser qu’une moule géante à hauteur d’homme ouvrirait ses énormes valves pour lui asséner une claque dont il garderait longtemps la brûlure. L’étonnement qui le saisit est si vif qu’à peine sa découverte réalisée, il marche dans une verdoyante jungle où une faune de papillons multicolores l’effleure du bout de leurs ailes diaprées et si le jeune Faune n’a pas pris la précaution de se munir d’une cartouche d’encre et d’un beau papier, il n’en gardera souvenir…Tout au fond de la jungle, sur un trône de verdure est assis le Grand Pan, maître d’œuvre de cette étrange féérie. Il joue le moment venu, d’un claquement de doigts produit de la manche de son ample costume par une flûte aux sons envoûtants. Le jeune Faune une fois initié à ce jeu retrouvera soudain ébahi et muet l’asphalte de la rue ne sachant plus comment il est entré, les yeux et le cœur encore chavirés par la vision des Naïades.

L.N

 

La mode est la mémoire collective par excellence de la faune parisienne et du chic de cette belle époque des années 30.
La manche à godet y est travaillée comme une voile de mousseline rose ou ivoire qui flotte au vent.
Dans la tour qui domine la rue de la Paix, non loin de la Place Vendôme, les ouvrières, excusez du peu, les couturières agglutinées les unes aux autres et, bien qu'affairées à leur tâche minutieuse et le nez dans leur ouvrage, ne cessent de jeter des coups d'oeil hâtifs aux aiguilles de la pendule tel un automatisme, automatisme par conséquent dénué de toute gène, il va sans dire. C'est la raison pour laquelle les aiguilles gravées dans la tête cette fois-ci, manoeuvres diverses et variées pour déguerpir sont légion. L'une, ayant quitté depuis peu l'adolescence, plus songeuse qu'à l'accoutumée, aspire, qu'elle en oublie d'expirer, aspire donc à une lettre de son prétendu amoureux, et attend avec cette impatience toute irraisonnée ce monsieur de la poste. L'autre, déjà plus âgée et qui en connaît un brin sur les vissicitudes de la vie, préfèrerait avoir une livre de cerises en main plutôt qu'aiguille et fil de soie. Quant à moi, plus près de la sortie que de l'entrée, un bord de mer, de rochers avec pêche à la moule ne me déplairait pas et parviendrait à rompre, à coup sûr, la monotonie et l'enfermement de cet atelier confiné. Le ventre creux depuis ce matin, une odeur de crêpes se répand par la fenêtre grande ouverte sur une rue fourmillante et apaise mes esprits d'évasion mais point mes papilles. Quelque peu exténuée par cette atmosphère de labeur sans pitié, le bruit des machines, les clameurs de la rue, mes yeux se ferment un instant et je me remémore ce rêve étrange de la nuit précédente : coup de feu en pleine forêt déserte, une claque dans la nuit et quelques cartouches jonchant le sol de mousse.

Catherine

 

Tirer sa dernière cartouche est une manœuvre difficile quand l’inspiration s’essouffle. Quoiqu’il en soit votre roman ne pèsera pas une livre, même sous la mousse des adverbes multipliés à la mode de Proust, dont vous craignez la claque mentale et les quolibets moqueurs rythmés comme autant de pendules folles qui tourneront dans votre cerveau comme le radeau de la honte sous le voile du deshonneur. Allez, encore un effort... vous trouverez dans votre mémoire soit la faune de l’île au trésor soit le poste d’observation du désert des Tartares. Allez, encore un effort... Mais non... rien à tirer de votre manche d'avocaillon ou pire, d'écrivaillon misérable. Votre nouvelle couvre à peine 3 pages. Ce n’est pas avec ce récit plat comme une crêpe que vous gagnerez le prix Jean Lescure !

 

Et bien si ! Vous l’avez gagnez ce prix… avec une histoire de rien : le mémoire écrit par un chien démiurge comme un manœuvre vaudou, sorti du moule des films réalistes. Ce faune canin reste fidèle au poste sous son réverbère. Pelé, vilain, sans gène, témoin des amours d’un mousse et d’une sirène d’eau douce, belle dans son manteau à grandes manches. Les amoureux  vont passer la nuit dans un claque misérable. Ce toutou n’est pas vraiment un héros de livre. Son mode de pensée (ou votre mode de dire) est un peu simplet. Ce ne sera pas une œuvre d’art dont le cartouche portera votre nom entouré de crêpe noir le jour de votre disparition…

MO

 

                    La petite dame de la poste, je l'aime. Alerte, toujours à la dernière mode elle a  plus d'une cartouche à son arc. Discrète, chaussée de ses ballerines à semelles de crêpe, elle se glisse incognito au milieu de cette faune bigarrée qui peuple ce quartier
célèbre pour la diversité de ses claques. Toute sorte d'individus aux regards inquiets déambulent sournoisement ça et là certains allant même jusqu'à la tour recouverte de mousse, jadis édifice militaire, qui se trouve au bout de la rue . La petite dame de la poste ne prête pas attention à ces remue-ménages, elle hâte le pas, dissimulant dans la large manche de son manteau une livre de moules qu'elle vient juste de voler.. C'est
pour ça que je l'aime la petite dame de la poste : elle n'a peur de rien, elle n'encombre pas sa mémoire de détails inutiles. Allons donc, une livre de moules, ça ne la gène pas !


                     Le gène, il l'a, c'est sûr. Il se débrouille comme un manche. Mousse déjà, il s'est coulé dans le moule. Il a définitivement jeté un voile sur les livres, en un tour de main il s'est mis en mode abonnés absents. Puis il a observé les manoeuvres évoluer à
leur poste. Muni de son pendule, il a emprunté le chemin de nulle part.

Marimad

 

Il se pencha sur le cartouche en bas du vaste tableau rectangulaire d’environ deux mètre sur un. « Visite du mousse au claque. Ghiorgios Balafoutas; début XXème ».

Quel est le manche qui a peint et écrit une telle ineptie ?

C’était une toile grise, très sombre même, où l’on distinguait vaguement un type, un voile en crêpe georgette autour des reins, une sorte de manœuvre devant en tour, une tête de faune, avec (c’est sûr avec une tête pareille) un gêne en trop ou en moins, bref un pékin pas tout à fait clair.

À la réflexion, il se dit qu’un message subliminal se cachait derrière ce titre, une facétie, un canular, voire une provocation. Le soir même, il fit une première recherche, et découvrit que Balafoutas était un rejeton à peine reconnu de Marcel Duchamp et d’une danseuse de claquettes qui se produisait dans les cabarets dada. Il subodora immédiatement le pataquès et la supercherie. Beau sujet de livre se dit-il. Il écrivit d’emblée un court mémoire qu’il envoya incontinent par voie postale (en effet sa localité ne disposait pas de poste de pigeon voyageur) à Mademoiselle W. Il l’avait intitulé, pensant avoir trouvé une parade fulgurante au titre énigmatique du tableau : « Quand claque le cartouche, le pendule perd le Nord ». L’intelligence supérieure de Mademoiselle W. s’attaqua au mémoire, le tortura pour en pénétrer le sens caché tant il lui paraissait clair que des sombres desseins y étaient tapis. Elle le lut et le relut tant et plus, sa mémoire en était pleine. Elle s’en ouvrit à George en train de réparer une gigantesque pendule écossaise, mais seul le coucou suisse lui répondit. Ni la faune de ce lumineux bord de mer, ni les mousses délicates, même pas les voiles gracieuses sur la Manche ne pouvaient distraire sa prodigieuse concentration.

Au bout de trois jours, affamée, elle engloutit une livre de moules suivie de crêpes Suzette. A ce mot, pourtant anodin et même légèrement ridicule de « Suzette », et alors qu’elle en avalait pensivement la dernière bouchée, elle eut comme un éclair. George, bien sûr ! De sa tour, elle échafauda une réponse, une riposte, une réplique, autant de cartouches bourrées de petit et gros plomb. Le quatrième jour, elle y mit un point final, courut à la poste. « Colis express, je vous prie » dit-elle à l’employé, « pendule à la mode n’amasse pas mousse et une bonne claque sans gêne ne peut attendre ! ».

Arnoul

 

La théorie des genres

 

        Comme tous les dimanches, Marguerite se prépara pour sortir. Elle orna son vaste chapeau d’un crêpe noir, se maquilla pour donner à son regard de la profondeur et du mystère et claqua la porte en laissant derrière elle les soucis de la semaine. En bas des escaliers, elle sortit son pendule, compagnon indispensable de ses pérégrinations auquel, par un tour de pensée que l’on pourra peut-être juger singulier, elle confiait en toute sérénité le soin de conduire ses pas. Elle faisait sonner élégamment sa canne en bois d’ébène sur l’asphalte parisien. Elle lorgnait d’un œil les ondulations du pendule. Ce gène du mystère lui venait de sa mère, une cartomancienne qui levait le voile dans la pénombre d’un petit hôtel borgne sur les brumes de l’avenir, la plupart du temps à de vieux messieurs encore taraudés par le désir de savoir ce que leur réservait le livre du destin sur le chapitre de leurs amours.

        Tout en marchant elle fredonnait sur le mode mineur une chanson triste et sentimentale lorsque les balancements de la bille d’argent s’intensifièrent à la porte du Louvre. Elle pénétra d’un pas de jeune fille dans le palais solennel, tout excitée à l’idée d’y contempler ses trésors amassés sur tant de siècles. Elle salua d’un bref mouvement de tête le gardien, fidèle à son poste, qui veillait sur les antiques et tomba littéralement en arrêt devant la statue d’un faune dansant. Elle souleva un instant son voile pour admirer les merveilleuses proportions de la sculpture qui l’amenèrent à de voluptueuses pensées que nous préférons taire.

        Elle fut tirée de sa rêverie par un homme corpulent à la face rubiconde qui lui marcha sans ménagement sur les pieds. Elle le fusilla du regard. Il devint cramoisi et, touchant d’un geste désolé son chapeau claque qu’il avait lustré le matin-même d’une bonne livre de beurre, il bredouilla des excuses comme un collégien. Elle leva le menton, prit une pose de châtelaine retirée en sa tour et, de sa petite main gantée de dentelle noire, lui donna une claque qui fit frémir les pointes lustrées de ses bacchantes. Alors ce fut une déconfiture sans nom. La gêne lui fit encore crachoter quelques mots incompréhensibles puis, sentant bien que ses borborygmes restaient impuissants à réchauffer le marbre qu’il avait outragé, il s’écrasa comme une crêpe aux pieds de la divinité qui avait souffleté sans ménagement sa virilité. Autour d’eux, la faune des visiteurs ouvrait des yeux ébahis sur ce couple ridicule et dramatique. Il mit tout son espoir dans une poignante pantomime : il embrassa ses genoux et leva les bras dans un geste désespéré, ce qui eut l’inconvénient assez fâcheux de laisser flotter aux alentours des auréoles largement déployées de sa chemise une vague odeur de marée et de moule.

        Face à tant de désespoir, la bonne Marguerite sentit son intransigeance mollir. Comme une voile agitée de vents contraires, elle ne savait que faire pour se dégager de l’emprise de cet homme éploré qui lui beurrait ses bas.

        Elle parvint enfin à se dégager, d’une voix magnanime lui pardonna et l’enjoignit à un peu plus de dignité. Il se releva en soufflant et une bille d’argent tomba de la poche de son gilet. Il ramassa prestement son pendule tandis que Marguerite serrait le sien dans sa main. Elle ouvrit d’abord de grands yeux étonnés, esquissa un sourire rêveur et de ses lèvres carmin fit claquer sur le front du maladroit qui se relevait un baiser rouge sang. Estampillé comme une lettre à la poste, il plongea son regard dans ses yeux pervenche et, comprenant que la solennité de cet instant ne souffrait aucun mot, il lui offrit son bras. Elle jeta un dernier coup d’œil à la danse lascive du faune et ils sortirent tous deux, muets et dignes, alors que le gardien, les yeux rivés à la pendule, s’apprêtait à chasser les derniers visiteurs.

Olivier

 

 

La cartouche de mon Parker était vide. Impossible d'écrire le prochain mot. Quel drôle de coïncidence, moi l'anthropologue égyptien. Enfin prochainement, c'est ce que j'espérais... Avant il me fallait rédiger ma thèse et pouvoir reproduire ce maudit cartouche de hiéroglyphes. Et j'avais perdu un temps fou. Tout d'abord ce décalage horaires mais surtout la claque en sortant de l'aéroport, ce 1er janvier. J'étais parti de Londres avec le claque sur la tête. La soirée de réveillon de l'université de la saint Martin's collège m'avait obligé à revêtir le smoking et son haut de forme séant pour ces occasions. Un peu saoulé par toutes ces festivités et la faune odorante du nouvel an, j'étais saoulé au propre et au figuré, liquidités hic hic ... j'avais attrapé mon avion au vol ! Dormi quelques heures dans ce Boeing  vide. J'avais rencontré, dans mes rêves cette créature mythologique romaine ou grecque, le faune, qu'importe si ma mémoire défaille, j'avais dormi profondément oubliant jusqu'à l'objet de ce voyage précipité pour résoudre la clef du mémoire que je devrais soutenir dans quelques mois. Mon mode de recherches était simple et je serai le premier à le démontrer. Si je parvenais à mes fins je lancerais une nouvelle mode d'observations. Et peut-être aurais-je la chance d'obtenir le poste vacant d'anthropologue à la saint martin's collège. A cet instant précisément, une hôtesse me fit émerger de ce pays merveilleux et sa manœuvre ne fut pas des plus simples. Une chape de béton pesait sur moi. Dernier à sortir de l'engin, je me mis en quête d'une boutique. J'avais promis à ma mère de lui souhaiter bonne année en lui envoyant la première carte postale que je verrai. La gêne occasionnée par mes maux de têtes m'empêchait de faire des mouvements circulaires autour de mon cou et c'est tout un poids mort de mon corps enchâssé qui devait effectuer une rotation en quête d'une enseigne. Mais quelle enseigne au juste ? J'étais perdu dans mes pensées et en apesanteur aucun manœuvre, personne pour me venir en aide.

 

Pour l'instant, le gêne de précocité ,dont on me disait doté, ne m'était d'aucune utilité. Seule la pendule indiquait 13 heures locales et dans mon ventre, seul le pendule alcoolisé était rythmé par les bulles qui le faisaient flotter dans un état de latence désagréable. Je devais mettre les voiles au plus vite de cet aéroport et retrouver celui qui devait me servir de guide et de chauffeur. Il saurait m'indiquer la poste la plus proche et lever le voile sur mon manque de repères visuels. Je retrouvais dans la manche de mon veston le papier avec le lieu de notre rencontre. Comment avait-il atterri là ? Qu'importe, Il m'attendait à l'extérieur. Je suffoquais étouffant sous un 40 degrés, avec en prime ma doudoune. J'avais quitté l'Angleterre sous une tempête de neige. Je crus m'évanouir dans ce capharnaüm et m 'accrochais à ce qui se présentait à moi : Le manche de balai de celui qui était préposé à l'entretien du marbre extérieur de l'aéroport du Caire. Le positif de la situation, c'est qu'Ahmid me repéra tout de suite. Il me conduisit à la poste. Première chose faite et bien faite. Je correspondais totalement au moule « so british » dont on parsemait le monde. Mon claque sur la tête cela ne pouvait-être que moi, ce grand escogriffe, blanc et parsemé de quelques tâches de rousseur. Enfin mes tâches de rousseur avaient du virer au vert comme dans une pêche aux moules périmées où les effluves vous plongent dans un coma accroché au manche de je ne sais quel égyptien. Bref, la tour de mon palais des rêves avançait à grands coups d'accélérateur et me rassurait. Après une bonne nuit de sommeil, je serai d’aplomb pour lancer mes investigations. Mais Ahmid, bifurqua. Élève en deuxième année d'anthropologie, il était heureux de m'accueillir et de me faire découvrir la bière égyptienne avec ces camarades de promo. Il me jouait là, un mauvais tour. « Une petite mousse ne vous fera pas de mal après ce voyage et on est le 1er janvier sir il faut faire la fête à l'égyptienne »...

 

La suite, je ne sais pas si je m'en souviens. Les bribes d'un mousse débarquant dans l'océan des festivités égyptiennes, une crêpe, galette, pancake, gorgé d'épices, de légumes et de viandes continua ma chute au pays des hauts le cœur... Lorsqu'une charmante et voluptueuse danseuse frôla mon corps de son crêpe de soie. Le voile tomba sur le livre de ma vie. Seul le cliquetis de ma dernière livre anglaise tombant de ma poche marquant d'un sol musical, le trouble dans lequel je sombrais.

Marylène

 

« Tous à poil ! », et si la littérature jeunesse était trop souvent médiocre?

 

 

 

 

 

 

 


Site créé gratuitement grâce à OnlineCreation.me

Design by Graph&Art - Tous droits réservés